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Depuis maintenant trois ans, les aspirants policiers doivent répondre à des questions assez farfelues afin d’être éligible au métier de policier.

En effet, des questions telles que « Quelle est la pire chose que vous ayez déjà fait en état d’ivresse?», « Avez-vous déjà eu des rapports sexuels avec un animal » ou encore « Avez-vous déjà sérieusement envisagé le suicide? » sont posée aux candidats qui sont branchés à un détecteur de mensonge. Cette technologie permet de mesurer les changements de la pression sanguine et du rythme cardiaque d’un individu et révèle ainsi le degré de stress qui serait attribuable à un mensonge.

Les réponses à ces questions personnelles assez gênantes représentent, selon la GRC, un outil précieux au dépistage de candidats inaptes à devenir policier pendant une époque durant laquelle les terroristes essaient de s’infiltrer dans le corps policier.

Cet effort nouvellement fournit est le résultat de la découverte d’un document, dans les archives des dossiers secrets, selon lequel la GRC ne faisait pas assez d’effort pou éliminer les postulant indésirables de leur corps policier. C’est par l’intermédiaire de la Loi stipulant le droit de l’accès à l’information que la Presse a pu accéder à ce document.

Cette dernière a pu y lire qu’ «en tout temps, de 40 à 50 membres sont suspendus, pour des questions liées à une activité criminelle, dans la majorité des cas ».

Espérons que tous les maniaques ont, à ce jour, tous été trouvé et éliminé de notre service de police.

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