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Encore des élections. On est vraiment tanné, mais on n’a pas le choix. Par contre, les élections provinciales présentent tout de même un côté assez divertissant : Mario Dumont. Alors, préparons nous à rire un peu.

Aux dernières nouvelles, monsieur Dumont admet qu’il est responsable de la position faible de son parti dans les sondages. Il reconnaît avoir commis plusieurs erreurs depuis son élection à la tête de l’ADQ.

«J'assume totalement la responsabilité pour les choses qui n'ont pas marché, pour les déceptions que les Québécois ont pu avoir», déclare Dumont, dimanche matin, devant 850 partisans tous rassemblé dans Rivière-du-Loup.

Durant son discourt, Dumont admet que ses députés et lui n’étaient pas prêts à fournir une bonne opposition face au gouvernement Charest. Il mentionne des erreurs « de parcours », « d’impatience », et « d’apprentissage ». Mais, bien sur, il ne précise pas de quoi s’agissent ces erreurs.

«Est-ce que celui qui a eu le caractère unique de vivre huit ans seul à l'Assemblée nationale, ça se peux-tu qu'arriver une équipe de 41, je n'ai pas su tout de suite, tout le temps, utiliser les meilleurs ressources à cause de mauvais plis qui ont été pris ? Ça se peut.»

On aime bien cette justification. Peut-être aurait-il du la garder pour lui.

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